Le vendredi 22 octobre, face à l’ambassade de Chine à Bruxelles, nous avons remis deux pétitions signées par 33.000 personnes en Belgique francophone et recueillies par Amnesty contre les camps de la honte et les séparations forcées d’enfants arrachés de leurs parents ouïghours.
Face au refus de l’ambassade d’ouvrir sa porte, nous avons glissé les signatures sous le portail.
En plus de ces signatures, sur base de témoignages de plus en plus nombreux, des militants vêtus de combinaisons bleues similaires à celles des prisonniers ouïghours ont été menottés et couchés dans une cage pour interpeller sur les tortures dont sont victimes des dizaines de milliers d’innoncent.e.s.
Une bannière appelant à la libération de toutes ces personnes injustement détenues a également été déployée.
Jamais nous ne lâcherons le combat pour la dignité. Nous faisons face à des crimes d’une ampleur industrielle sans précédent. Nous ferons tout pour lutter contre le processus génocidaire en cours.