Ce mardi 25 mai, j’ai été élu par une majorité des 179 parlements à travers le monde au “Comité des droits de l’homme des parlementaires” de l’Union interparlementaire (UIP).
Le Comité est le seul mécanisme international doté d’un mandat pour protéger et défendre les parlementaires en danger ou victimes d’enlèvement, meurtre ou détention arbitraire.
Le Comité est composé de 10 membres des 5 continents. Je participerai donc dorénavant aux auditions, missions d’enquêtes et procès en qualité d’observateur pour libérer des parlementaires en danger, que ce soit au Bélarus, Myanmar, Yémen ou Venezuela (voir la carte interactive qui reprend tous les cas de violations en cours).
La liberté d’expression des parlementaires n’est pour moi pas un vain mot. Comme jeune élu démocratique dans un pays libre, je veux être la voix de ceux qui n’en ont pas. Peu importe le pays concerné, j’estime avoir la responsabilité d’être solidaire avec mes collègues parlementaires victimes d’abus pour leur obtenir protection et réparation.
+ La vidéo de ma campagne goupillée par Arthur Van Belleghem :